Le risque infectieux peut être particulièrement élevé dans les milieux confinés de travail : dans le cas d’une pandémie, une maladie grave facilement transmissible peut entraîner des complications de santé chez un grand nombre de travailleurs et peut générer un absentéisme très important...
Le risque infectieux peut être particulièrement élevé dans les milieux confinés de travail : dans le cas d’une épidémie ou d’une pandémie, une maladie grave facilement transmissible peut entraîner des complications de santé chez un grand nombre de travailleurs et peut générer un absentéisme très important, nuisant aussi sérieusement à la vie économique de l’entreprise.
Le respect de strictes règles d’hygiène, de protection individuelle et une organisation du travail adaptée permet de limiter le risque épidémique ou pandémique au sein de l’entreprise.
Par ailleurs, l’apparition de multiples contraintes individuelles et collectives dues aux mesures de prévention et de protection, la survenue d’infections se produisant au sein de l'entreprise, peuvent faire émerger un réel climat d'angoisse, des tensions psychologiques qu’il est nécessaire d’anticiper au même titre que le risque infectieux : la concertation et la participation de tous les acteurs sont indispensables, en faisant appel non seulement aux DRH, aux médecins et aux infirmiers des services de santé au travail mais aussi aux membres du CSE.
Généralités sur les risques épidémiques et pandémiques au travail
Une pandémie est une épidémie se répandant à la fois sur une large zone géographique et touchant une proportion importante de la population : parmi les nombreux paramètres qui transforment une maladie en pandémie, il faut considérer le temps d'incubation avant les premiers symptômes, le temps avant la phase de contagion, l’intensité de la contagiosité de l’agent biologique, le degré d’immunité de la population et le mode de transmission : ces paramètres influencent la morbidité et la rapidité et l’extension de la maladie, transformant une épidémie en pandémie. Une pandémie peut résulter notamment d’un nouveau sous-type de virus résultant d’une importante transformation génétique, possédant ainsi des caractéristiques immunologiques nouvelles par rapport aux virus habituellement circulants, ce qui a pour conséquence de permettre à la maladie de se propager rapidement par défaut total ou partiel d’immunité de la population (même vaccinée antérieurement).
Le nombre des personnes contractant des formes graves est variable : toutefois, même si la proportion des sujets infectés contractant une forme grave est faible et concerne surtout les personnes dépourvues d’une immunité suffisante (enfants, séniors, individus non ou mal vaccinés, femmes enceintes), le nombre total des cas graves affectantles personnes en âge de travailler peut devenir important du fait de la large diffusion de l’agent biologique pathogène. La grippe pandémique est une des principales menaces dans les pays occidentaux, mais d’autres maladies peuvent survenir (virus mutant, coronavirus lié au syndrome respiratoire aigu sévère SRAS, COVID-19 …) ainsi que celles concernant d’autres régions du monde (fièvre jaune, typhoïde, infection à coronavirus comme le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient MERS, à virus zika ou autre maladie à transmission vectorielle ...).
Pendant une pandémie grippale majeure, le nombre de malades serait de 15 à 35% et le taux d'absentéisme pourrait atteindre un sommet de 40% au plus fort d'une pandémie d'envergure : ce taux d’absentéisme prend en compte les salariés malades, mais aussi ceux devant s’absenter pour prendre soin des membres de leur famille ou garder leurs enfants par suite de fermeture des crèches et écoles ou ne pouvant se déplacer pour se rendre à leur travail du fait de la désorganisation et raréfaction des transports en commun. La durée de la pandémie grippale serait de 8 à 12 semaines et le pic pandémique s’étalerait de 1 à 2 semaines. Les symptômes grippaux sur les lieux du travail (toux, fièvre >38°, courbatures, ...) peuvent être d'apparition brutale avec frissons, douleurs articulaires, fatigue, signes respiratoires ; dès les premiers symptômes, un malade est contagieux.
Dans le cas du milieu de travail, selon la nature des activités professionnelles et des comportements d’hygiène, les travailleurs peuvent être exposés aux agents biologiques par plusieurs voies d'accès :
- inhalation par voie respiratoire jusqu’aux alvéoles pulmonaires,
- contact cutané avec des objets contaminés et ingestion par voie orale et déglutition de particules infectées.
L’inhalation de gouttelettes ou poussières présentes dans l'atmosphère, provoque l’apparition de pathologies respiratoires aigues ou chroniques. Le risque infectieux entraine des affections pulmonaires, bronchiques, grippe, légionellose, et maladies de la sphère oto-rhino-laryngée, en particulier dans les milieux confinés, dont les bureaux. Les tours aéro-réfrigérantes mal entretenues des grands immeubles du secteur tertiaire peuvent receler des agents microbiens responsables de pneumopathies communautaires. La longue cohabitation de plusieurs personnes dans des bureaux, les salles des établissements hospitaliers, crèches, maisons de retraite, dans les magasins, les véhicules de transport en commun .., une aération des locaux défectueuse, entrainent une pollution de l’air importante : les maladies respiratoires dues aux virus et bactéries aéroportés se propagent alors aisément, notamment lors des éternuements, de la toux et des postillons des personnes malades.
La pénétration digestive, manuportée après contact cutané ou ingérée directement, s’opère par déglutition de particules de poussières ou gouttelettes de liquide présentes sur les mains, le visage, les vêtements ou instruments ou surfaces de travail contaminés (claviers, poignées de porte, robinets, mobiliers, combinés de téléphone, interrupteurs, boutons-poussoirs, crayons ou stylos …) ou dans la boisson et les aliments : zoonoses avec des agents biologiques (bactéries, champignons, virus, parasites) lors de manipulations ou contentions des animaux, nausées, vomissements, diarrhées (gastroentérite …) lors de contact avec des liquides biologiques en milieux de soins ou dans les laboratoires ou dans les installations sanitaires, les cuisines ou les eaux usées. La pénétration par voie orale se fait soit par ingestion accidentelle d’un produit ou par déglutition de produit, soit par contact direct, en portant les mains ou des objets souillés à la bouche ou en buvant ou avalant de la nourriture.
Dans la plupart des cas, si la possibilité de pénétration par les voies respiratoires est connue, bien trop souvent le risque de pénétration par voie digestive est encore sous-estimé.
Les virus et bactéries sont sensibles aux tensioactifs (ammoniums quaternaires …) présents dans les produits de nettoyage et aux désinfectants habituels tels que l'alcool à 70° ou l'eau de Javel (hypochlorite de sodium en solution aqueuse). L'eau oxygénée (solution aqueuse de peroxyde d’hydrogène) est efficace contre les bactéries anaérobies, mais son action est faible contre les virus et nulle contre les bactéries aérobies. Les solutions hydro-alcooliques sous forme de gel sont utilisées en frictions pour la désinfection des mains, en particulier celles des soignants en milieu hospitalier pour lutter contre les infections nosocomiales manuportées.
Les micro-organismes biologiques peuvent persister quelques heures sur les surfaces sèches et quelques jours sur des surfaces humides, avec de grandes disparités selon les germes.
Mesures de prévention et protection du personnel du risque pandémique
Avec des sources de souillure biologique multiples, les conditions de travail dans les locaux industriels, commerciaux et tertiaires plus ou moins confinés et à plus ou moins grande fréquentation, les moyens de transport, les chantiers, les établissements scolaires, hospitaliers, culturels, administratifs ou de divertissement, les bâtiments publics …, sont particulièrement propices aux contaminations du personnel en cas d’épidémie ou de pandémie.
Les entreprises doivent ainsi prendre des mesures de prévention pour éviter la contamination de leurs collaborateurs car les employeurs ont une responsabilité à l’égard de la santé des salariés (article L. 4121-1 du code du travail), afin que l’entreprise ne devienne pas un outil de transmission et de propagation de l’épidémie.
Les entreprises doivent donc préparer un plan de prévention et de protection de leur personnel , un « plan de continuité d’activité » abordé en concertation avec le Comité Social et Economique (CSE), comme pour toute modification importante de l’organisation du travail ; non seulement parce que l'employeur a une obligation de sécurité vis-à-vis de ses salariés, mais aussi pour permettre de poursuivre leurs activités normales en limitant le nombre de personnes tombant malades du fait en particulier du renforcement des mesures d’hygiène face aux menaces de la pandémie, y compris en cas de fonctionnement en mode dégradé. L’employeur doit se tenir au courant des recommandations émises par les autorités sanitaires et gouvernementales et les appliquer dans l'entreprise selon les niveaux d'alerte.
Les mesures individuelles et organisationnelles d’hygiène en situation de pandémie ne doivent pas être considérées ni a fortiori présentées au personnel comme de simples recommandations mais bien d’exigences et de consignes que les salariés ont une obligation d'appliquer au même titre que les autres règles de sécurité édictées par l’employeur : ne pas respecter les consignes d’hygiène peut être considéré comme une faute professionnelle, car cela peut mettre en danger la vie des collègues (Article L4122-1 du Code du travail).
Il convient de mobiliser une cellule de coordination de crise entre les DRH, le CSE et l’ensemble des unités de l’entreprise pour s’assurer que les prérogatives officielles y sont déployées de façon adéquate en fonction de la situation locale. L’information précise et pertinente (campagne d’affichage, distribution de consignes écrites par tracts et/ou emails …) des salariés sur les mesures prises par la hiérarchie, le Service de Santé au Travail et le CSE est une condition fondamentale de prévention : le médecin du travail, avec le CSE conseille l'employeur sur les actions à mettre en œuvre et sur l'information à donner aux salariés afin d'éviter la contamination dans l'entreprise.
La première mesure à prendre est de renseigner le Document Unique d'évaluation des risques pour y intégrer les éléments liés à une situation de crise sanitaire majeure : il faut notamment une procédure rapide et efficace pour les salariés infectés ou revenant d'une zone à risque.
Il convient de désigner précisément une personne en charge de gérer les cas individuels et d’assurer le lien avec les autorités (médecine du travail et agence régionale de santé en particulier).
- Les mesures organisationnelles
L’organisation du travail et la fourniture d’équipements pour protéger les salariés d'une contamination sont essentielles :
- Suspendre les activités de groupe comme les déjeuners d’affaires, les réunions et formations en présentiel, les colloques ou séminaires … en organisant des visioconférences, ou en recourant systématiquement aux autres moyens de télécontact, au e-learning ...
- Proscrire les déplacements des salariés dans les zones à risques et mettre en « quarantaine » chez eux les salariés qui en reviennent, en arrêt de travail ou en télétravail même sans l'accord du salarié (article L. 1222-11 du Code du travail face à la menace épidémique). - Favoriser massivement la mise en place du télétravail.
- Eloigner le plus possible les bureaux les uns des autres et sans vis-à-vis (au moins 1 mètre, soit 2 mètres entre les employés) et les tables à la cantine (avec diminution de places et élargissement des horaires d’ouverture en compensation), marquage au sol pour faciliter la distanciation sociale.
- Procédure de détection et d’évacuation d’une personne malade.
- Nécessité impérative de rester au domicile en cas de fièvre.
- Eviter tout contact physique entre salariés, notamment proscrire le serrage de mains, l’accolade…
- Accès fortement limité pour les clients, fournisseurs et autres visiteurs.
- Identifier les personnes les plus exposées (accueil, guichet, vente au public, livreurs, conducteurs de transports en commun…), déterminer les modalités particulières de leur protection (gants, masques et visières transparentes, écrans en plexiglas, …) et de leur suivi médical (prise de température …).
- Approvisionnement ample et distribution large de masques, de mouchoirs et serviettes en papier à jeter, de poubelles et de solutions hydro-alcooliques.
- Le contrôle du risque infectieux passe par l’application stricte des principes d’hygiène : il convient de prévoir un calendrier de fréquence et d'alternance nettoyage-désinfection adapté à l'occupation des locaux. Les revêtements des sols et leur nettoyage sont notamment des éléments d’hygiène fondamentaux avec plus de facilité si le mobilier et les équipements sont équipés de roulettes pour le déplacement. - Nettoyer aussi plus souvent toutes les surfaces et matériels en contact avec les mains (rampes d'escalier, poignées de portes, boutons d'ascenseurs, claviers, souris, téléphones, écrans d’ordinateurs, terminaux de paiement électronique, capots des machines, caisses enregistreuses, comptoir, …) , par exemple avec des lingettes désinfectantes ou chiffon imbibé des tensioactifs des produits de nettoyage, avec des durées et procédures appropriées ; il faut éviter les procédés de brumisation et préférer l’essuyage humide pour la désinfection des surfaces : l’utilisation sous forme de spray augmente le risque de sensibilisation et d’irritation des muqueuses (gêne oro-pharyngée, difficultés respiratoires…). Des gants adaptés, à longues manchettes, pour éviter la pénétration des produits à l’intérieur, en vinyle, nitrile, butyle ou polyéthylène, sont préférables au latex, responsables d’allergies et de trop faible épaisseur. - Les mesures individuelles
Le respect des règles d’hygiène renforcées s’étend aux comportements individuels : ne pas avoir les mains sales afin de ne pas ingérer par inadvertance une particule infectée, ne pas manger ni cracher sur le lieu de travail, jeter les déchets dans les poubelles, collecteurs et conteneurs adaptés … En effet, de mauvaises habitudes hygiéniques personnelles peuvent augmenter l’exposition aux agents étiologiques au point qu’ils en deviennent dangereux, et de bonnes installations ou équipements sont inutiles si ils ne sont pas ou mal utilisés.
En contrepartie des obligations des employeurs en matière d’hygiène au travail, les salariés sont tenus de se conformer strictement aux instructions (règlement intérieur, notes de service, consignes…) qui leur sont données par leur hiérarchie : en cas de pandémie, la « tolérance zéro » est indispensable dans ce domaine.
Toutefois, l'employeur ne peut pas demander à l'un de ses salariés de ne pas venir travailler en raison d'une simple suspicion de contamination. Dans ce cas, l’employeur pourrait être accusé de discrimination en raison de l'état de santé, ce qui est susceptible d'être sanctionné devant le Conseil de Prud'hommes.
Le droit de retrait d’un salarié ne peut s’exercer, concernant le risque épidémique, que si l'entreprise ne suit pas les recommandations sanitaires. - Le lavage des mains
Le lavage simple des mains avec un savon neutre ou mieux avec un gel hydro-alcoolique est indispensable après tout contact avec des souillures, avant chaque pause, avant de manger, boire, après être passé aux W.C, etc.… Les besoins en matière d'hygiène des mains sont plus importants en cas de pandémie : le lavage hygiénique s'adresse aux personnels les plus exposés aux contacts interindividuels rapprochés ou ayant été contact avec une personne malade et exige une procédure particulière et le recours d’un savon ou d’un produit bactéricide et virucide ou de solutions hydro-alcooliques. Pour ces lavages répétés, l'essuyage par tamponnement sera moins irritant que l'essuyage par frottement. L’absorption par voie cutanée de l’alcool est très faible, même lors des frictions des mains de manière répétée et intensive avec des gels hydro-alcooliques : le seul risque cutané provient de l’altération du film hydrolipidique de la peau qui entraîne un dessèchement puis une irritation des mains, avec possibilité d’érythèmes légers surtout avec l’isopropanol qui est plus irritant que l’éthanol.
L’hygiène des mains est également nécessaire lors de la mise en place des équipements de protection individuelle comme les bouchons d'oreille, les masques respiratoires, ....
• Le port des masques respiratoires
Un masque de protection FFP (Filtering Facepiece Particles, « pièce faciale filtrante contre les particules »), est un appareil de protection respiratoire jetable filtrant contre les particules propageant les maladies transmissibles dans l'air. De type demi-masque, en papier ou cartonné, léger, il couvre le menton, le nez et la bouche et doit être correctement ajusté sur le visage avec des élastiques. Ils sont relativement faciles à porter et assez bien acceptés, mais leur durée d’efficacité est limitée à quelques heures (une journée de travail maximum).
Il existe deux types de masques contre la contamination pandémique.
Le masque de protection FFP1 ou masque anti-projections (de type chirurgical) :
Ils sont destinés à éviter la projection de sécrétions des voies aériennes supérieures ou de salive par le porteur ; ils protègent contre la transmission du virus par gouttelettes mais pas par voie aérienne. Ce port de masque à usage unique pourra être préconisé pour les salariés, présents sur leurs lieux de travail habituels, exposé au risque environnemental général notamment du fait du contact avec leurs collègues dans l’entreprise (dans les bureaux en open space par exemple), sans que le risque soit aggravé par une organisation particulière du travail. Il doit être obligatoire pour les salariés exposés régulièrement à des contacts étroits avec le public du fait de leur profession (métiers de guichet ou de caisse par exemple, agents des transports en commun, des établissements scolaires ou hospitaliers, maisons de retraite ou autres lieux publics …).
Le masque de protection FFP2 : Ce type de masque à la différence du masque chirurgical protège son porteur contre l'inhalation d'agents infectieux transmissibles par voie aérienne et contre le risque de transmission par gouttelettes (ou de polluants comme les particules fines). Ce masque de protection respiratoire FFP2 plus contraignant est réservé aux professionnels dont le rôle en situation de pandémie serait capital et qui seraient amenés à être en contact régulier et rapproché avec des malades ou des objets ayant été potentiellement à leur contact : professionnels de santé, services de secours, personnels des établissements de ramassage et de traitement des déchets …
Les services de santé au travail doivent s'équiper en plus de gants jetables et de lunettes de protection. - Les mesures spécifiques
La grande pandémie causée par le coronavirus COVID-19 a amené la publication, par le ministère du Travail, de fiches conseils par métier pour les salariés et les employeurs : ce sont des recommandations spécifiques pour les secteurs ne pouvant recourir au télétravail, afin de se protéger des risques de contamination au virus COVID-19 sur des lieux de travail particuliers. En effet, les déplacements ont été réduits au strict minimum sur le territoire et le télétravail est la règle pour tous les postes qui le permettent, mais pour les nombreux postes de travail industriels ou commerciaux indispensables sur site, il est nécessaire d’assurer la protection des salariés en tenant compte des particularités des lieux de travail en plus des mesures générales : "Chauffeur Livreur" , "Travail en caisse" , "Travail dans un commerce de détail" , "Travail en boulangerie" , "Travail dans un garage" etc. (voir le lien ci-dessous).
Pour aller plus loin :
- Plan national de prévention et de lutte « Pandémie grippale » : n° 850/SGDSN/PSE/PSN Octobre 2011 ; 78 pages
- Pandémie grippale et vie des entreprises : INRS Réalité Prévention n° 14 – 2007 ; 12 pages
- Circulaire DGT 2009/15 du 26 juin 2009 relative au rôle des acteurs de la santé au travail en cas de pandémie grippale ; 10 pages
- Covid-19 version du 28 février 2020 : Questions/réponses pour les entreprises et les salariés http://idf.direccte.gouv.fr/sites/idf.direccte.gouv.fr/IMG/pdf/coronavirus_entreprises_et_salaries_q-r.pdf
- Face au coronavirus, employeur ou salarié, que pouvez-vous faire ? : https://www.droit-travail-france.fr/face-au-coronavirus--employeur-ou-salarie--que-pouvez-vous-faire--_ad1941.html
- Coronavirus-COVID-19 - Fiches conseils métiers pour les salariés et les employeurs : https://travail-emploi.gouv.fr/actualites/l-actualite-du-ministere/article/coronavirus-covid-19-fiches-conseils-metiers-pour-les-salaries-et-les
Avril 2020
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02/09/2020